date d'inscription : 27/01/2020 messages : 13 pseudo (prénom) : Mizu faceclaim : Lucy Hale (@Carole 71)
Sujet: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Mer 29 Jan - 16:39
Olda Asbjørnsenfeat Lucy Hale
Derrière l'écran
pseudo/prénom :Mizu (Laura) âge :23 ans région/ville :sud de la France présence :variable selon les périodes, mais assez active je l'espère où as-tu connu HSG ?grâce à une pub pour un scena sur facebook je crois remarques ://
identité complète :Olda, c'est ainsi que tes parents décidèrent de te prénommer à ta naissance. Ils hésitèrent bien longtemps entre un prénom à consonance suédoise ou un prénom plutôt américain mais c'est les origines paternelles qui l'emportèrent finalement. Cela a d'ailleurs toujours suscité de la curiosité chez tes camarades de classe ainsi que tes professeurs. Olda, ou celle qui possède la force. Ça te corresponds assez bien, car tu as toujours affronté les épreuves qui se présentaient à toi avec vaillance et courage, sans jamais baisser les bras. Asbjørnsen, comme l'auteur Peter Christen Asbjørnsen, celui qui écrivait des contes et autres histoires s'inspirant des légendes et du folklore suédois. Ton père t'as souvent dit qu'il y avait un lien de parenté et qu'il ne serait pas impossible que du sang magique coule dans tes veines mais tu n'y as jamais vraiment cru. Pour toi, c'est juste de jolies histoires qui te faisaient rêver lorsque tu étais plus petite et qui t'inspirent aujourd'hui beaucoup de nostalgie. date et lieu de naissance : 13 avril 1993, à Salt Lake City, dans l'Utah. nationalité et origines : Tu possèdes la double nationalité suédoise et américaine, de par les origines de tes parents. Papa est né et à grandit à Trondheim, qu'il a quitté lorsqu'il avait vingt ans pour tenter de vivre le rêve américain dont on lui vantait tant les mérites. Quant à Maman, même si elle aurait largement eu les moyens de voyager aux quatre coin du monde, elle n'a jamais quitté sa ville natale, dans laquelle elle réside probablement encore aujourd'hui. métier/activité(s) : T'as ouvert un petit salon de tatouage dans le garage de la maison que tu occupes avec ton paternel et les choses ne marchent pas trop mal pour toi depuis. orientation sexuelle : Malgré les préceptes religieux qu'on t'as enseigné durant toute ton enfance, malgré tout ce que l'on a pu te répéter sur Dieu et ce qui était bon pour toi, sur le fait que tu devais offrir de beaux enfants à l'Eglise lorsque tu serais en âge, t'as toujours plus ou moins su que t'étais différente. Toi, Olda, t'aimes simplement les gens, qu'importe ce qu'ils ont entre les jambes. Tu t'es tout autant tordu de plaisir sous des corps chauds et virils qu'en caressant les courbes sensuelles et si douces de tes amantes. statut civil : Célibataire, le coeur en miette depuis que t'as dû te résoudre à abandonner l'amour de ta vie, encore une fois. Tu vogues au gré du vent en tentant encore et encore de combler le putain de vide qui irradie ton corps et tes tripes. traits de caractère : douce - serviable - positive - fleur bleue - idéaliste - artiste dans l'âme - très proche de la nature et des animaux - timide au premier abord - fêtarde - exclusive - têtue - assez rancunière - curieuse - attentionnée - etc. . groupe choisi : Sisu. avatar + crédits : Lucy Hale, tumblr & avengedinchains
Quel est le degré de bonheur de votre personnage ?
Les choses sont assez dure à gérer pour toi en ce moment et même si t'essaies de rester positive comme tu l'as toujours fait, tu dois bien avouer que t'es pas heureuse. Tu l'es plus depuis que ta relation avec Fernanda a pris fin et tu te demandes chaque jour si tu as fais le bon choix, si t'aurais pas simplement dû passer outre tes principes et ta jalousie pour garder la femme que tu aimes auprès de toi. Puis il y a ton père aussi qui t'inquiète beaucoup. Il semble de plus en plus fatigué en ce moment et il enchaîne les rendez-vous médicaux sans jamais te dire de quoi il en retourne. Alors tu fais comme tu peux pour avancer malgré tout, pour donner le change mais le verre reste malgré tout plutôt à moitié vide pour toi...
Les anecdotes
1 Olda. T’aimes à penser que c’est un joli coup du sort si t’as pu voir le jour, un chouette tour de passe-passe du destin. Parce que tes parents, ils étaient clairement pas fait pour se rencontrer. Caroline, riche petite américaine née avec une cuillère en argent dans la bouche et Sven, norvégien issu d’un milieu beaucoup plus modeste qui avait toujours dû travailler à la force de ses bras pour mettre les siens à l’abri et obtenir ce qu’il désirait. Il ne quitta sa Trondheim natale qu’à une seule reprise, lorsqu'il eu épargné assez pour tenter de vivre son rêve américain. Et boom, ils se tombent dessus, littéralement, au détour des couloirs d’un musée. Ce qui n'était à l'origine qu'une amourette de vacances devint bien vite beaucoup plus sérieux et lorsque Madame lui proposa de rester auprès d'elle et qu'ils s'installent ensemble, Sven n'hésita pas bien longtemps, quand bien même cela impliquait un nombre assez important de contraintes, dont il prendrait conscience au fil du temps.
2 En effet, ce n'est pas pour rien que Caroline et sa famille étaient installés à Salt Lake City. Tous, dans leur intégralité, sont de fervents croyants et pratiquants de L’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, autrement dit, les mormons. Pour Sven, cette révélation ne fut pas forcément un frein, quand bien même il comprit bien vite que pour être accepté, il devrait se convertir. Sa fiancée n'eut pas besoin d'amener le sujet sur la table, il fit le nécessaire, espérant que cela ferait taire les rumeurs à son sujet et qu'ils pourraient tous deux couler des jours heureux.
3 C'est ainsi que quelques années plus tard, un matin d'avril 1993, toi, Olda Asbjørnsen, tu pointas le bout de ton nez. Tes parents t'accueillirent comme la huitième merveille du monde tant il leur fût difficile de t'avoir. Il est monnaie courante chez les mormons de procréer autant que faire se peut afin d'agrandir la communauté mais eux savaient que tu serais leur seul enfant, leur petit miracle. Aussi fus-tu choyée et aimée, sans doute un peu trop surprotégée également bien qu'il te fallut un certain nombre d'année pour t'en apercevoir.
4 Cela aurait pu être la fin parfaite d'un conte pour enfant mais la vérité, c'est que les choses sont toujours plus compliquées qu'il n'y parait. Oui, tes parents t'aimaient, énormément. Oui, ils aspiraient à faire de toi une jeune fille épanouie et en bonne santé. Cependant, tu étais différente Olda, tu l'as toujours su. Ou plutôt, on te l'a toujours fait ressentir. Une petite tête blonde au milieu de cheveux noirs comme l'ébène, on ne peut pas la louper. "Puis ton papa, même s'il fait semblant, il n'est pas comme nous, il n'est pas d'ici." C'est ce que tu as souvent entendu, de la bouche de tes cousins ou même parfois de tes oncles et de tes tantes. Tu as eu beau faire de ton mieux, essayer de te fondre dans la masse autant que possible, te faire oublier même parfois, rien n'y faisait. À dix ans, tu supplias ta mère de t'amener faire une coloration, que tu entretiens encore aujourd'hui. Tu as durant longtemps été la victime de quolibets et autres joyeusetés du genre, qui auraient pu s'apparenter à du harcèlement, bien que tu n'en avais absolument pas conscience à l'époque. Aujourd'hui, certaines mauvaises blagues te restent en travers de la gorge bien sûr mais tu ne te souviens pas en avoir été particulièrement malheureuse autrefois.
5 Là où tous les autres enfants de la famille excellaient à l'école et faisaient la fierté de leur parents respectifs en rapportant des prix et trophées en tout genre, il s'avéra bien vite que ton talent à toi se trouvait dans d'autres domaines, bien moins conventionnel. D'abord, ton père t'as transmis son amour pour la musique dès ton plus jeune âge ; tu t'essayais à la guitare et au piano avant même de savoir parler correctement et tu exigeas de prendre des cours pour te perfectionner dès que tu en eu l'occasion. Ensuite, ta curiosité insatiable te poussa à t'intéresser à l'art sous toutes ses formes ; les lettres et tes chers bouquins, qui bien souvent te servirent de refuge, le dessin, qui te permettait d'exprimer tes pensées les plus sombres mais aussi la danse, où tes professeurs s'extasiaient de ta grasse naturelle et de ton étonnante capacité à retenir les pas pour une enfant aussi jeune. Tu aurais pu aller loin, très très loin et intégrer de prestigieux ballets si ta mère ne s'était pas toujours refusé à te faire sortir du circuit classique recommandé et plussoyé par l'Eglise.
6 De par les croyances de tes parents, tu as eu une éducation très stricte et rigoureuse dont il t'es parfois encore difficile de te défaire aujourd'hui. Pour commencer, tous tes dimanches à partir de l'âge de dix-huit mois ont été consacré à l'instruction religieuse via la messe et le catéchisme que tu n'étais jamais autorisé à louper, sauf cas de force extrême. Les lundis soir, la famille étendue se réunissait toujours dans l'immense demeure de tes grands parents maternels pour "communier autour de l'amour de Dieu et souder les liens familiaux". La vérité, c'est que c'était l'occasion pour chacun d'étaler les prouesses de ses gamins sur la place publique ou de recadrer sans vergogne ceux des autres. Tu as donc dû apprendre à te tenir et à patienter durant d'interminables conversations d'adultes sans moufter sous peine d'être sévèrement réprimandé. Heureusement, ton père pensait toujours a emmener un livre pour toi du moment où il s'est aperçu de tes prédispositions à les dévorer et ce fut une véritable libération de pouvoir t'évader de cette manière, quand bien même les autres te reprochaient de rester dans ton coin et de ne pas chercher à t'intégrer. D'une manière plus générale, tous les aspects de ta vie était plus ou moins codifié : tu ne pouvais choisir par toi-même les films que tu regardais ou les musiques que tu écoutais puisque pour suivre les recommandations de l'Eglise, les uns ou les autres devaient impérativement te rapprocher du "Père Céleste". Les tenues que tu portais étaient soigneusement étudié pour rester chaste et pure, car tu ne devais point t'offrir avant le mariage et qu'un décolleté ou une jupe au dessus du genou aurait pu provoquer le désir des garçons. Tu portais toujours en dessous de tes vêtements (même la nuit) le garnment, sous vêtement horriblement moche censé "éloigner la tentation". Bien sûr, fumer des cigarettes ou boire la moindre goûte d'alcool étaient totalement prohibé, quand bien même tu aurais atteint l'âge légal pour le faire. D'autre part, on t'as bien dit et redit depuis ta naissance que ton rôle lorsque tu serais plus grande serait de trouver un époux et de procréer afin d'offrir de beaux enfants à l'Eglise qui viendraient agrandir et faire la fierté de toute votre communauté. Bien sûr, tout ceci te parait horriblement ridicule avec le recul et tu sais que tu as été privé de ton innocence bien trop tôt, bien trop vite. Cependant, à l'époque, tous les gens autour de toi sans exception vivaient comme cela donc tu n'en souffrais pas, c'était une norme, rien de plus.
7 Les choses auraient pu durer ainsi éternellement. T’étais destinée à être une mère Olda, à accomplir ton devoir marital lorsque Monsieur le désirerait et à bien fermer ta gueule surtout. T’étais bien partie pour ça et pour rester à Salt Lake City toute ta vie, sans jamais voir autre chose que ce que tu avais toujours connu. Ce qui t’as sauvé, c’est l’opportunité que tu as eu à vingt et un ans de partir en “mission” pour convertir de nouveaux fidèles. C’est une tradition chez les mormons. Quiconque le souhaite - et épargne assez pour cela - peut se porter volontaire et être formé pour partir à l’étranger répandre la parole sacrée. Le voyage dure deux ans, avec, là encore, des règles de vie assez stricte ; interdiction de contacter la famille, à part pour nöel et la fête des mères, interdiction de regarder la télévision et de lire la presse locale. D’autre part, il est rappelé aux missionnaires maintes et maintes fois avant leur départ que leur voyage a pour but d’enseigner aux gens et non de discuter avec eux. T’es partie en France toi et ça a littéralement changé d’avis. T’as découvert une autre culture, d’autres moeurs, beaucoup plus légères que les tiennes mais tellement plus permissives aussi. T’as appris que des gens pouvaient s’intéresser à toi pour ta musique, pour tes dessins et non pas uniquement pour ta religion. T’as appris à nouer de vrais relations sincères basées sur des passions communes, sur une envie d’être ensemble et non pas sur des apparats et sur l’obligation d’apparaître sous tel ou tel jour en permanence.
8 Mais le plus important dans ce voyage, c’est que t’as appris ce que c’était l’amour, le vrai, celui qu’on ne maîtrise pas, qui vous envoûte, qui vous fait tourner la tête. Celui qui va au delà de tout, au delà des frontières de l’éducation et des enseignements que l’on vous inculque toute votre chienne de vie. Ana, qu’elle s’appelait. T’as d’abord essayé de la convertir, comme tu le faisais avec tout le monde avant de t’apercevoir que c’était peine perdu. Ana, elle était bien trop libre pour ça. Ana, elle s’assumait, pleinement, totalement et ça, ça te faisais rêver. Elle assumait toute sa féminité, toute sa sensualité en se foutant royalement de ce que pouvait en penser les gens autour d’elle. Elle dansait comme personne aussi. T’as tout découvert avec elle. Les plaisirs de la chair mais aussi ceux de la vie. T’as fais la tête, t’as bu, t’as fumé, t’as même testé quelques drogues. Et putain, qu’est-ce que t’as aimé ça en vrai. Braver les interdits, c’était jouissif, tellement puissant, tellement excitant. Pour la première fois de toute ta vie, tu te sentais toi Olda. Vivante, heureuse, comblée. Mais bientôt vint la fin de ton voyage et l’obligation de rentrer au bercail. Tu pouvais pas t’y soustraire, t’étais bien trop surveillée pour ça. Alors t’es partie, avec la promesse de revenir la voir dès que tu le pourrais, sans te douter un seul instant qu’en vérité, tu ne le pourrais pas.
9 Salt Lake City. La famille. La vie qu’on attendait de toi. Les règles. Les interdits. Tout t’as sauté à la gueule quand t’es rentrée. Bien sûr, tes parents étaient fier de toi. Parce que t’avais tenu bon malgré la distance, parce que t’avais bravé cette épreuve pour l’amour de Dieu. Mon cul ouais. Ils avaient même une surprise pour toi. Une surprise toute droit sortie du chapeau : un fiancé. Putain de merde. L’homme avec qui tu étais censée passer le restant de tes jours sans rien connaître de lui, si ce n’est qu’il rentrait parfaitement dans le moule. Il était gentil, poli, n’aurait sans doute jamais un mot plus haut que l’autre et prônerait l’amour des autres et de Jésus-Chris à qui voudrait l’entendre. Il te ferait de beaux enfants que tu te ferais un plaisir d’enrôler à ton tour, de beaux enfants aux cheveux bien sombres bien sûr. T’as pas pu Olda. T’aurais voulu peut-être, mais t’as pas pu. T’as implosé et tu t’es décidé à parler d’Ana à ton père et à ta mère, quand bien même les choses changeraient pour toujours après cela. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles ont changés effectivement. Tout s’est fait dans un calme glacial, sans un mot plus haut que l’autre. Ils t’ont écoutés tout leur raconter ou presque sans jamais te couper la parole. Ton père avait ce sourire si rassurant et bienveillant qui illuminait toujours ses traits lorsqu’il s’adressait à toi. C’est lui que tu regardais tout en débitant ton récit le plus rapidement possible. Puis il y a eu un long silence. Ta mère s’est levée et elle est partie à l’étage. Ton père lui semblait réfléchir, en proie à un débat interne très puissant. Quand Caroline est revenue dans la pièce, elle tenait une grande valise noire qu’elle te tendit. “Tu as un choix à faire Olda. Si tu quittes cette maison maintenant, de ton plein gré, j’inventerai quelque chose qui justifie ton départ auprès de la famille et de la Communauté. Si tu refuses de partir, j’informerai tout le monde de ton petit secret et tu seras forcée de partir parce que personne, je dis bien absolument personne, ne tolérera cette folie. L’amour, c’est entre un homme et une femme et rien de plus. Retournes en France ou fais ce que tu veux, tu n’es plus ma fille à partir d’aujourd’hui.” Tu ne te souviens pas de ce que tu as répondu. Tu t’es levée, t’as attrapé la valise et tu es sortie de la maison. Qu’est-ce que tu aurais pu faire de plus de toute façon ? T’as appelé un taxi et t’as attendu qu’il vienne tandis que les larmes brouillaient ton champ de vision. C’est là qu’il est sorti à son tour. T’as d’abord cru qu’il t’apportait simplement quelque chose que tu avais oublié avant d’appercevoir l’énorme sac qu’il portait sur son dos. “Je t’emmène en Norvège ma chérie. Et je t’aime. Très fort.”
10 C’est comme ça que tu atterris à Trondheim, ville natale de ton paternel. T’as le coeur en miette parce que t’as perdu une mère mais tu n’as jamais été aussi proche de ton père que depuis que vous avez quitté Salt Lake City. Vous avez discuté, beaucoup et il t’as avoué qu’il était resté durant toutes ces années et qu’il n’avait rien dit par peur de perdre Caroline mais qu’ils s’étaient beaucoup disputés tous les deux à propos de ses choix éducatifs. Il s’est excusé de ne pas avoir eu la force de s’opposer à elle avant, notamment en l’obligeant à te faire suivre un cursus artistique, parce que c’est pour ça que tu étais faite et qu’il l’avait toujours su. La coupure entre ton ancienne et ta nouvelle vie a été très brute. T’as jamais eu de nouvelles de personnes malgré les nombreux mails et les nombreuses lettres que tu as pu envoyer. C’est comme s’ils t’avaient tous oubliés, rayés de leur vie définitivement.
11 T’aurais sans doute pu t'apitoyer sur ton sort et regretter encore et encore la famille que tu avais perdu mais ce ne fut jamais le cas. D’une part parce que tu es de nature extrêmement positive et de l’autre parce que t’as pu goûter à ce qu’était la liberté et que tu veux jamais plus perdre ça. Certes, ta mère te manque mais tu sais qu’elle ne t’accepteras jamais comme tu es et c’est une raison suffisante pour ne pas essayer de reprendre contact avec elle. Puis tout un nouveau monde s’offre à toi à Trondheim, un nouveau monde que tu te dois d’explorer. Ce que tu ne tardas pas à faire, quelques mois à peine après ton arrivée. Y’avait cette jolie blonde qui habitait dans la maison voisine à celle que vous aviez pu trouver avec ton père. Fernanda, qu’elle s’appelait. Tout le monde la trouvait bizarre, personne n’osait vraiment discuter avec elle et ça t’as plus. Au début, vos conversations et activités tournaient exclusivement autour du tatouage, art auquel t’avais pu t’essayer peu après ton arrivée en Norvège et que tu appréciais tout particulièrement. Après t’être formée correctement, t’avais même ouvert un petit salon privé dans le garage de la maison et faut bien avouer que les choses ne marchaient pas trop mal. De fil en aiguille, tu t’es rendue compte que t'appréciais le corps de Fernanda bien au delà du simple aspect des dessins duquel tu le recouvrait progressivement. Et putain, qu’est-ce que tu l’as aimé. Qu’est-ce que t’as aimé votre relation, vos rires, vos conneries, votre complicité, votre entente si parfaite et presque surréaliste sur tous les plans. Ou presque. Parce que bien sûr, rien ne peut être parfait et que Fernanda n’est pas un petit oiseau qu’on met en cage, Fernanda, elle aime l’Amour et elle a besoin de sa liberté, d’aller voir ailleurs quand bon lui chante. T’as cru que tu pourrais Olda. T’as vraiment cru que tu pourrais passer au dessus de ça pour elle, pour vous, mais plus les choses avançaient, plus la jalousie te consumait et t’as dû te résoudre à tout arrêter, à regarder la maison de celle que tu as aimé plus que personne d’autre chaque matin en te disant que plus jamais tu ne pourrais voir ce sourire si angélique illuminer son visage tandis que vous vous réveillez dans les bras l’une de l’autre. Aujourd’hui, t’as le coeur en miette et t’essaies de l’oublier dans les bras de qui-le-veut, t’essaies de combler ce vide béant qui te fait office de coeur depuis que t’as décidé que c’était fini.
métier/études : Gerante de sa librairie-cafe/avait commencé des études d'histoire statut civil : Fiancée à l'amour de sa vie, celui qui la connait par cœur et le père de son petit garçon. tes petits bonheurs : Son fiancé Erik Sørensen et son petit garçon Oskar bientôt 3 ans.
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Mer 29 Jan - 17:02
Bienvenue à toi !
Rasmus Winteland
admin à la double vie
date d'inscription : 06/01/2020 messages : 134 pseudo (prénom) : hurry babe (mathilde) faceclaim : Alfred Enoch + balaclava (av)
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Jeu 30 Jan - 0:09
Ce scénario j’avais tellement hâte qu’il soit choisi parce que je suis complètement fan du personnage que Fernanda s’est construit et il va de soi qu’Olda va de paire avec son histoire Lucy est divine, son nom et les contes qui s’y rapportent également... j’adhère, j’adore j’ai hâte de lire la suite et de vous suivre en rp En attendant, n’hésite pas si tu as besoin de quoique ce soit, je te réserve la belle Lucy dès que je passe sur l’ordi (juste attention à l’âge, Lucy est de 1989 donc Olda doit être grand max de 1993 ) Bisous bisous.
métier/études : Tatoueuse et sorcière statut civil : Célibataire
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Jeu 30 Jan - 12:37
la plus belle bienvenue à toi et encore merci d'avoir pris mon scénario si important pour ma Fernanda ! love and drama is coming bon courage pour la fin de cette fiche qui me donne l'eau à la bouche
Sanna Winteland
date d'inscription : 19/01/2020 messages : 44 pseudo (prénom) : paupdoestuff faceclaim : Alexandra Daddario / schizophrenic
métier/études : Illustratrice & comédienne spécialisée dans le doublage statut civil : Mariée à Rasmus Winteland
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Jeu 30 Jan - 18:01
Bienvenuuuuuuue ! Hâte d'en découvrir plus sur la belle ! :D
Olda Asbjørnsen
date d'inscription : 27/01/2020 messages : 13 pseudo (prénom) : Mizu faceclaim : Lucy Hale (@Carole 71)
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Jeu 30 Jan - 18:28
Merci à tous pour l'accueil
@Rasmus Winteland : Ahah, j'ai la pression maintenant ! J'espère que l'histoire d'Olda te plaira et qu'on sera à la hauteur de tes attentes pour le rp Je change ça très vite pour l'âge, my bad Au plaisir pis j'espère qu'on se trouvera un petit lien
@Fernanda Pedersdotter : C'toi la plus belle ! Merci, hâte de rp avec toi et de développer ce duo de folie
métier/études : infirmier, un métier qui compose sa vocation, un choix de vie qu'il assume et dont il est fier statut civil : fiancé à son highschool sweetheart, sa reine de bal de promo, la mère de son enfant, depuis bientôt deux ans
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Ven 31 Jan - 1:45
Lucy Bienvenue parmi nous !
Ruth Iversen
date d'inscription : 23/08/2019 messages : 2464 pseudo (prénom) : Pickle Rick (Ingrid) faceclaim : Jaimie Alexander @lilousilver (avatar) littlewolf (sign)
métier/études : Ancien Major chez les Jegertroppen, maintenant tatoueuse quand ses tremblements ne l'empêchent pas de tatouer. statut civil : Vide, il ne reste que des fantômes. tes petits bonheurs : (+) l'odeur du pain grillé
(+) le son du dermographe
(+) le sentiment d'avoir fait le nécessaire
(+) avoir une bière fraîche dans la main
(+) Odin le chien que la vie à mis sur son chemin
(+) réparer sa maison
(+) passer du temps avec Simen et Tomas en buvant des bières
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Sam 1 Fév - 13:33
Biiiienvenue dans la famille ma jolie
Simen Hjemdal
admin au coeur brisé
date d'inscription : 31/07/2019 messages : 1770 pseudo (prénom) : MissMady (Mady) faceclaim : tom hardy - shiya
métier/études : anciennement agent de sécurité sur le campus, il vient de reprendre son poste de professeur de littérature au lycée statut civil : anéanti, le coeur en miettes, l'amour de sa vie s'est donné la mort, il n'arrive pas à rebondir tes petits bonheurs : (+++) elle, nous, notre vie, l'amour dans la maison rouge
(++) ma soeur, mon âme, mon rocher
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Sam 1 Fév - 15:11
Bienvenue par ici avec la bien trop belle Lucy que je l'aime elle, et puis ce personnage, j'ai tellement hâte de te découvrir dans le jeu
métier/études : t'es organisatrice de mariage, un métier qui te passionne. statut civil : t'es célibataire, t'as toujours eu un faible pour le meilleur ami de ton frère. tes petits bonheurs : un bon chocolat chaud avec tes amies ○ sentir le soleil sur ta peau ○ un bon muffin de la pâtisserie du coin ○ etc.
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Dim 2 Fév - 16:45
Bienvenue parmi nous avec ce super choix de scénario et la bouille de Lucy Courage pour ta fichette
Olda Asbjørnsen
date d'inscription : 27/01/2020 messages : 13 pseudo (prénom) : Mizu faceclaim : Lucy Hale (@Carole 71)
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Dim 2 Fév - 22:20
Merci à tous pour l'accueil, promis je fais au mieux pour remplir cette fiche au plus vite
Edit : je fais au plus vite pour finir ma fiche d'ici la fin de la semaine, me supprimez pas s'il vous plait
Jørn Solheim
L'admin à la gueule amochée
date d'inscription : 04/10/2019 messages : 433 pseudo (prénom) : MissMady (Mady) faceclaim : adam driver + yumita
métier/études : une ancienne vie bien chargée dans laquelle il trafiquait des voitures de luxe et des armes, aujourd'hui, il est vu comme le gentil pompier de la caserne de la ville statut civil : célibataire, le fantôme d'une fille qu'il n'a jamais reconnue, morte aujourd'hui, il s'interdit d'aimer tes petits bonheurs :
(+++) se sentir utile
(+++) l'odeur du café le matin
(++) sa première cigarette du jour
(++) la caserne, sa famille
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Ven 7 Fév - 21:01
date d'inscription : 27/01/2020 messages : 13 pseudo (prénom) : Mizu faceclaim : Lucy Hale (@Carole 71)
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Ven 7 Fév - 21:04
@Jørn Solheim Il me manque vraiment, vraiment pas grand chose pour la finir Le seul truc c'est que j'ai chopé la grippe donc je galère pas mal à rester éveillée suffisamment longtemps pour écrire
métier/études : athlète olympique, il a déchaussé son snowboard pour une fracture de la hanche, et est revenu sur ses terres natales. statut civil : coeur ensanglanté, toujours brisé d'avoir perdu son meilleur ami, et son amour de jeunesse dans la même journée. tes petits bonheurs : Voir la neige tomber ~ Les centaines de photos qui recouvrent les murs de son appartement ~ chanter sous la douche ~ marcher sur les mains ~ descendre la rue pour aller manger au restaurant de ses parents ~ sa planche, bleue étoilée, sous laquelle on peut lire le nom de son équipe : la Norvège.
Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain. Sam 8 Fév - 21:56
Elle est toute douce ta Olda, j'ai hâte d'en lire plus ! (puis Lucy, holala. ) Bienvenue sur HSG, et bon courage pour la fin de ta fiche !
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Sujet: Re: Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain.
Olda - Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain. Un jour d'humanité, un jour d'humain.